ceux qui ignorent le Sabbat du Seigneur pour observer le 1er jour de la semaine
Voici ce que disent les écrits d’Ellen White concernant ceux qui ignorent le Sabbat du Seigneur pour observer le premier jour de la semaine : - Ellen White explique que l’observation du dimanche (le premier jour de la semaine) à la place du Sabbat (le septième jour) est le résultat d’une concession à la tradition et à l’influence du paganisme. Elle écrit : « Le sabbat est l’épreuve du Seigneur, et nul homme, qu’il soit roi, prêtre ou dirigeant, n’est autorisé à s’interposer entre Dieu et l’homme. Ceux qui cherchent à être la conscience de leurs semblables se placent au-dessus de Dieu. Ceux qui sont sous l’influence d’une fausse religion, qui observent un faux jour de repos, mettront de côté les preuves les plus positives concernant le vrai sabbat. Ils essaieront de contraindre les hommes à obéir aux lois de leur propre création, lois qui sont directement opposées à la loi de Dieu. Sur ceux qui continuent dans cette voie, la colère de Dieu tombera. À moins qu’ils ne changent, ils ne pourront échapper à la peine. » (9T 234.2) - Elle précise que le dimanche a été introduit progressivement, d’abord comme une fête en l’honneur de la résurrection du Christ, mais que le vrai sabbat était encore observé par les premiers chrétiens : « L’esprit de concession au paganisme a ouvert la voie à un mépris encore plus grand de l’autorité du Ciel. Satan a manipulé le quatrième commandement et a tenté de mettre de côté l’ancien sabbat, le jour que Dieu avait béni et sanctifié, et à sa place d’exalter la fête observée par les païens comme “le vénérable jour du soleil”. Ce changement n’a pas d’abord été tenté ouvertement. Dans les premiers siècles, le vrai sabbat était observé par tous les chrétiens. » (GC 52.1) - Ellen White affirme qu’il n’existe aucune preuve biblique que le sabbat a été changé ou aboli : « Ils ont commencé à examiner les raisons d’observer le premier jour de la semaine au lieu du jour que Dieu avait sanctifié. Ils ne pouvaient trouver aucune preuve dans les Écritures que le quatrième commandement avait été aboli, ou que le sabbat avait été changé ; la bénédiction qui avait sanctifié le septième jour n’avait jamais été retirée. » (GC 434.3) - Elle met en garde contre l’exaltation des lois humaines au-dessus de la loi divine, et considère l’observation du dimanche comme un « sabbat contrefait » : « Le dimanche est un enfant de la papauté, exalté par le monde chrétien au-dessus du jour sacré du repos de Dieu. En aucun cas, le peuple de Dieu ne doit lui rendre hommage. » (9T 235.1) En résumé, selon Ellen White, ceux qui ignorent le sabbat du Seigneur pour observer le premier jour de la semaine suivent une tradition humaine qui n’a pas de fondement biblique, et cela constitue une transgression du commandement de Dieu. Elle appelle à revenir à l’observation du vrai sabbat, le septième jour, tel que sanctifié à la création. Références : - Ellen G. White, Testimonies for the Church, vol. 9, p. 234-235. - Ellen G. White, The Great Controversy, p. 52, 434.
Comme l’ont fait Nadab et Abihu. Ils offrent ce qui est commun à la place de ce qui est Saint.
Ellen White utilise l’exemple de Nadab et Abihu pour illustrer le danger d’offrir ce qui est commun à la place de ce qui est saint. Voici ce qu’elle en dit : - Nadab et Abihu, fils d’Aaron, ont été consacrés à un service très sacré. Cependant, « ils transgressèrent le commandement de Dieu en utilisant un “feu étranger”, au lieu du feu sacré que Dieu lui-même avait allumé et qu’Il avait commandé d’utiliser pour cet usage. Pour ce péché, un feu sortit de devant l’Éternel et les dévora aux yeux du peuple. » (GW 20.3) - Ellen White précise que « Dieu avait interdit, sous peine de mort, de présenter du feu commun devant Lui avec l’encens. » (3T 295.1) - Elle explique que « Nadab et Abihu, en buvant du vin, obscurcirent leurs facultés de raisonnement, et perdirent ainsi le sens des choses sacrées, au point de penser qu’ils pouvaient aussi bien offrir du feu commun que du feu sacré. Dieu ne les excusa pas parce que leur cerveau était confus. Un feu de sa présence les détruisit dans leur péché. » (4aSG 125.1) - Elle en tire une leçon : « Les choses sacrées ne doivent pas être mêlées aux choses communes. » (7T 153.1) En résumé, selon Ellen White, offrir ce qui est commun à la place de ce qui est saint, comme l’ont fait Nadab et Abihu, c’est mépriser les commandements de Dieu et ne pas faire de distinction entre le sacré et le profane. Dieu attend de ceux qui s’approchent de Lui qu’ils Le sanctifient et respectent ses instructions précises. Références : - Ellen G. White, Gospel Workers, p. 20 - Ellen G. White, Testimonies for the Church, vol. 3, p. 295 - Ellen G. White, Spiritual Gifts, vol. 4a, p. 125 - Ellen G. White, Testimonies for the Church, vol. 7, p. 153
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